5 étapes clés pour gérer une situation de conflit avec la Gestalt

Les conflits, on les connaît tous. Ils surgissent au beau milieu de nos journées, se faufilent dans nos discussions et parfois, sans crier gare, transforment un désaccord mineur en une tempête émotionnelle.

Se disputer, se fâcher, ne pas sentir ses propres valeurs respectées… ça vous arrive aussi, n’est-ce pas ? C’est normal. C’est tout à fait humain. Mais il arrive que les conflits laissent des échos dans la relation bien après que le calme soit revenu. Un peu comme un chapitre qu’on ne parvient pas à clore. En Gestalt, on appelle cela une Gestalt inachevée.

En fait, un conflit n’est pas à éviter à tout prix ; d’ailleurs je vous en parle dans le premier article que j’ai écrit sur les émotions. Chaque émotion est là pour nous dire quelque chose. Un conflit est votre invitation à aller explorer et à affiner vos valeurs, votre empathie. Vous allez vers  une meilleure compréhension de vous-même et des autres. 

Dans cet article, je vais vous donner 5 clés qui vont vous aider à comprendre et apaiser une situation qui est conflictuelle pour vous. A la fin de cet article, vous serez mieux équipé(e) pour comprendre vos réactions, et vous aurez plus de facilité à prendre en compte celle de l’autre.

Entre nous, un conflit peut devenir un tremplin vers une version plus épanouie de vous-même. 

Comment ? 

Alors, vous allez le découvrir dans ces 5 étapes clés 🙂

1. Première clé : Demandez-vous comment est la relation

Quand le ton monte, prenez un pas de recul et demandez-vous ce qui est en train de se jouer dans la relation. Est-ce que c’est une simple divergence d’opinion, est-ce que c’est un dépassement de limites, donc un recadrage ? Est-ce que c’est en lien avec de l’inachevé, du passé qui n’a pas été dit ? Il peut y avoir de multiples raisons. 

Je vais vous prendre un exemple que m’a raconté une cliente. C’est un exemple très parlant d’une situation quotidienne qui pourrait arriver à chacun d’entre nous. 

Ma cliente est dans un café, il fait plutôt beau, elle est avec une amie, elle est en train de parler et son amie se met d’un coup à fumer en face d’elle.  Leur relation est un peu compliquée parce que parfois elles ont du mal à se comprendre. Et il y a justement des vagues émotionnelles dans leur relation et aussi du non-dit. Il y a de l’inachevé sur des situations qui n’ont pas été expliquées. L’amie de ma cliente est une amie proche, c’est une personne qui compte pour elle. Mais effectivement, pour elle, cette personne incarne l’autorité.  Et vous verrez plus tard qu’au fond, quelque chose se joue avec ça. 

Avant que je vous raconte la suite de l’histoire, je vais vous faire travailler.

Je vous laisse chercher une situation inachevée que vous avez vécue avec une personne de votre entourage. 

Quand vous l’avez trouvée, je vous invite à prendre un papier et un stylo et à noter ce que vous ressentez quand je vous pose ces questions: 

Comment pouvez-vous parler de cette relation? 

Est-ce qu’il y a des situations qui se sont passées avant et qui pouvaient être un peu inachevées dans la relation ? 

Qui est cette personne pour vous ? 

Qu’est-ce que vous pourriez projeter sur cette personne-là ?

Réfléchir à comment est la relation va vous donner des indications pour la suite. 

Maintenant, on va revenir à mon exemple, puis on va essayer d’avancer ensemble dans le prochain paragraphe et vous pourrez penser à votre propre situation.

2. Deuxième clé : Prenez conscience de l’intensité de vos émotions

Allons un peu plus loin et parlons maintenant des émotions

Reprenons votre exemple.  

Du coup, dans la relation, qu’avez-vous ressenti ? Quelle(s) émotion(s) était présente(s) ?

On va partir sur 3 grandes familles d’émotions pour simplifier. La joie, la tristesse et la colère. 

Prenez un petit moment pour réfléchir à ça. 

Qu’avez-vous vécu dans cette situation désagréable et qu’est-ce qui reste un peu en vous? 

Maintenant, reprenons l’exemple de ma cliente.  Son amie s’est mise à fumer, et il y avait un petit vent. Puis la fumée a commencé à arriver sur ma cliente. Elle n’a rien dit pendant un petit moment. Une deuxième personne s’est mise à côté d’elle, et a aussi commencé à fumer. En un rien de temps, elle s’est retrouvée encerclée dans ce nuage de fumée. Et puis elle a attendu… attendu… et elle a commencé à développer des émotions à vibration négative : c’était en même temps une sorte d’agacement et un désaccord, de se retrouver là, avec cette fumée et en terrasse.

Donc essayez de voir vous dans votre propre situation, ce que vous avez pu ressentir. Ça peut être de la tristesse, de la déception, de la solitude, de l’inquiétude, voire du rejet, du jugement. Ça peut être aussi de la colère, de la frustration, de l’agacement, de l’agressivité, de l’indignation, du désaccord, de la jalousie…

C’est intéressant de mettre de la clarté sur votre émotion. Vous pouvez ensuite lui donner une note sur 20 pour mesurer son intensité. Le 20 représente le paroxysme. 

D’ailleurs, un thérapeute qui est avec un client qu’il accompagne, va énormément se concentrer sur le ressenti du client et l’intensité de son émotion. 

Une fois que vous avez pu noter l’intensité de l’émotion, je vous invite à lire la suite.

3. Troisième clé : comprendre vos valeurs

Posez vous la question, dans votre situation, quelle valeur essentielle était présente ou absente ? 

Je reprends l’exemple de ma cliente. C’est quelqu’un qui a une valeur de liberté très forte. Et donc là, de manière très claire, elle était dans son besoin de liberté. Elle avait besoin de se sentir libre d’être dans ce café sans avoir à vivre quelque chose de compliqué.

Une autre valeur absente également pour elle, c’était la valeur du respect. Elle ne s’est sentie pas respectée par son amie qui lui envoyait sa fumée. Donc très clairement, ces deux valeurs étaient absentes.

Nos réactions émotionnelles, quand elles sont associées à un sentiment qui pourrait être négatif, viennent du fait qu’il y a un ou plusieurs valeurs qui sont absentes dans l’échange. 

Une valeur est plus forte qu’un besoin.

C’est-à-dire qu’on peut avoir un besoin de liberté, mais quand ça devient une valeur, c’est vraiment un besoin qui est très très fort. Ça vient nous toucher beaucoup plus fort. 

Du coup, pour ma cliente, ce qui s’est passé, c’est qu’elle a dit à son amie “tu ne me respectes pas là ”. Voyez, c’est sorti un peu comme ça, massivement. 

Puis elle a pris conscience qu’elle n’avait pas vraiment décodé ses émotions. Effectivement, il y avait un agacement mais aussi un désaccord dès le début.

Rappelez-vous, elle n’avait pas vraiment envie d’aller en terrasse accompagner son amie. Du coup, comme on l’a dit, c’est venu toucher deux valeurs qui étaient importantes pour elle : la liberté et le respect. 

Puis quand on en a discuté en thérapie, je lui ai demandé si cela venait aussi toucher une autre valeur : sa valeur santé. Elle ne l’avait pas vu. Quand on est thérapeute, on fait des suggestions, des propositions, on ne va jamais imposer. Très souvent, le Gestalt thérapeute ouvre autre chose et votre client répond « ah oui, c’est vrai j’avais pas pensé à ça, merci »

Maintenant, je vais vous parler d’une autre partie qui est très importante dans les valeurs, c’est prendre en considération l’autre. 

Revenons-en à ma cliente. Je lui ai demandé : “ et d’après-vous, pour votre amie, quelle valeur essentielle était absente ?”. Ce qui est extrêmement intéressant, c’est que son amie lui a répondu “mais moi aussi je suis libre d’être là et je suis libre de fumer”.

En sortant un peu de notre ego, on voit plus loin. Son amie était elle aussi dans une valeur élevée de liberté.  Elle avait aussi l’impression de ne pas être libre de fumer comme elle le voulait, et du coup, elle s’est à son tour un peu énervée dans l’histoire.

En fait, la valeur liberté de son amie était si forte, qu’elle ne s’est pas vue demander quelconque autorisation de fumer. Si on va plus loin, on est dans un fait de société, et cette histoire pourrait vraiment arriver à n’importe qui… on est dans le conflit des fumeurs et non fumeurs. 

L’amie de ma cliente a vécu le rejet parce qu’elle était fumeuse. En fait, ce n’est pas elle qui est rejetée, on est bien d’accord, c’est la fumée, mais parfois ça fait un peu comme une connivence, ça vient toucher l’identité de la personne. Et quand ça arrive, c’est plus profond. C’est venu toucher son propre enjeu d’attachement. Cette amie s’est mise ensuite à pleurer, parce qu’elle n’a pas su comment réagir face à cette situation. Pour elle, la déclaration c’était “tu ne m’aimes pas”. 

De comprendre tout ça c’est vraiment très intéressant, “moi j’ai ces valeurs, mais si je me mets aussi à la place de l’autre, qu’est-ce qui se passe ? “. Tout cela s’appelle l’empathie. Cela permet de comprendre la maladresse collective qui s’est passée.

4. Quatrième clé : laissez place à l’empathie

Avoir un sens empathique, c’est aller un peu plus loin encore. Vous allez  avoir de la bienveillance envers vous-même. Vous n’allez pas vous juger par rapport à ce qu’il s’est passé. 

Ma cliente, après avoir dit qu’elle ne se sentait pas respectée, s’en voulait beaucoup. C’est vrai, son amie fumait devant elle, mais ce n’était pas non plus un crime affreux. 

En fait, quand on est contrarié, fâché, c’est impossible de s’occuper de l’autre sans avoir, dans un premier temps, décodé ce qui se passe pour soi. 

Une fois que vous avez compris ce qui se passe pour vous, ça va créer une place pour l’autre. Vous allez pouvoir vous demander : “qu’est-ce que l’autre a ressenti comme émotions ? quelles sont ses valeurs?”. 

Et c’est là, en empathie, que ma cliente a vraiment réalisé qu’effectivement, son amie a senti du rejet. En fait, son amie a l’habitude d’être rejetée. Du coup, elle se comporte d’une telle manière pour revivre éternellement le rejet. Elle s’y attend tellement, qu’elle ne prend pas de précautions, même avec ses amis. 

De parler de ce mot-là, “rejet”, ça a complètement changé le vécu de ma cliente. Certes, elle a réagi par rapport à sa valeur de liberté, mais en étant dans l’empathie, elle a mieux compris ses ressentis et ceux de son amie. 

5. 5ème clé : La récolte. Comment grandir après un conflit ?

Reprenons votre exemple. Je vous invite à chercher tous les aspects positifs ou bénéfiques de votre expérience, même s’ ils ne semblent pas évidents. Rappelez-vous, il y a toujours du positif 🙂

J’ai demandé à ma cliente de faire l’exercice. Elle m’a confié que la colère lui a permis de faire comprendre qu’elle n’était pas d’accord. Elle l’a dit de façon maladroite, certes, mais elle l’a dit. En fait, elle était contente d’avoir pu sortir du non-dit avec son amie et d’avoir exprimé son désaccord. 

Vous savez, quand on laisse la place au non-dit et qu’on commence à dire les choses, cela sort souvent très maladroitement. C’est presque inévitable. D’où l’importance d’avoir de la bienveillance envers soi. 

Et donc, ma cliente a pu voir que sa propre valeur de liberté était très forte.

Puis paradoxalement, d’avoir fait le protocole avec moi, ça lui a permis de se rapprocher de son amie.  

Qu’à t’elle appris de cette expérience? 

Elle sait maintenant qu’elle peut dire un peu plus tôt son besoin sans attendre le syndrome de cocotte minute  : “tiens, là je vois que la fumée de cigarette arrive de ce côté parce qu’il y a un petit vent. Est-ce que tu veux pas qu’on change de place, qu’on se décale ?”.

Trop attendre pour dire ses besoins va faire que ça va sortir très fort. 

Je lui ai demandé ce qu’elle envisageait avec son amie pour le futur, comment elle voyait leur relation. Elle voulait bien-sûr rester en contact avec elle, mieux communiquer et tenir compte de leurs valeurs respectives dans la relation. 

Elle l’a appelée et voici ce qu’elle lui a dit : “écoute, je voudrais revenir un peu sur ce qui s’est passé entre nous. C’est vrai que je me suis énervée, et je voudrais t’expliquer pourquoi.

Voilà, pour moi tu es importante, tu es vraiment une amie donc j’ai pas envie qu’on se fâche. Ce que j’aurais envie de te dire, c’est que moi aussi j’ai envie d’entendre ton besoin, de te sentir libre de fumer.

Est-ce que tu serais d’accord peut-être quand on se voit qu’on commence à marcher un peu ensemble ? Comme ça en marchant, tu peux fumer, tu es dans ta liberté de fumer, et moi je suis bien aussi.

Puis après on peut se poser un peu, ou pas d’ailleurs, mais si on se pose, on fait attention à la fumée, et est-ce que c’est ok pour toi?” 

Et du coup, pour la fin de l’histoire de ma cliente, son amie a été touchée de sentir qu’il n’y avait pas de rejet.

Elles ont même pu discuter d’une valeur importante de son amie qui est l’acceptation.

Elle s’est sentie du coup entendue dans son besoin d’être acceptée avec ses défauts, avec ses ombres, et le fait qu’elle soit fumeuse. 

Maintenant, reprenons votre exemple ensemble. Essayez maintenant de vous connecter à votre cœur.

Qu’est-ce qui a été bénéfique pour vous dans votre expérience ? Comment voulez-vous vous sentir maintenant quand vous pensez à cet évènement ? Quelles sont vos intentions pour le futur ?

En faisant ce travail, vous allez donner de la place à l’émotion dans votre cerveau. En nommant ce qui s’est passé, vous mettez du sens, vous convoquez le cortex préfrontal, et l’amygdale va s’apaiser. 

C’est aussi comme ça que vous fermez une Gestalt inachevée.

Une nouvelle approche des conflits

Maintenant que vous avez exploré ces 5 clés, vous êtes mieux préparé(e) pour gérer les conflits. Vous avez les outils pour transformer les désaccords en dialogues enrichissants et de manière constructive et empathique. 

Souvenez-vous que derrière chaque conflit se cache une chance de renforcer les liens et d’approfondir votre compréhension de vous-même et des autres. Chaque situation conflictuelle que vous rencontrez est un pas de plus vers une meilleure version de vous-même. Essayez de mettre en pratique ces 5 clés, je suis persuadé que vous allez en tirer beaucoup de positif dans vos relations. 

Si vous sentez que vous avez besoin d’aide, sachez que vous n’êtes pas seul(e). Notre école peut vous aider. Nos élèves témoignent régulièrement sur tout ce que la formation leur a permis de changer dans leur vie. 

Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à prendre un rendez-vous avec un de nos conseillers pédagogiques en cliquant sur le bouton ci-dessous.  Nos conseillers sont là pour répondre à vos questions sur notre formation et pour vous accompagner.  

Ensemble, nous pouvons ouvrir de nouvelles portes vers la paix intérieure et des relations plus harmonieuses.

Alors, pourquoi pas vous ?

Que pensez-vous de mon article ?

Dites moi tout dans les commentaires, je lis chacun de vos messages. 

Showing 16 comments
  • Pierre GROSBOIS
    Répondre

    Arnaud,

    Merci pour cet article sur le conflit. J’ai été très touché à sa lecture, notamment à la fin : quand nous comprenons ce qu’il se passe en nous cela crée de la place pour l’autre.

    Il se trouve que plusieurs de mes clients sont en conflit avec leurs pères.
    Ton article, d’une grande richesse, est très inspirant dans mon accompagnement pour identifier avec eux leurs gestalts inachevés et les fermer.
    Je pense que j’avais bien pressenti ces gestalts, mais ton texte me donne une manière de travailler avec beaucoup plus de bienveillance et de clarté !
    Trop bien !

    Pierre

  • Florence
    Répondre

    Très agréablement expliqué. Pour moi, très compliqué dans la pratique. Ici, chacune semble finalement capable d entendre l autre. Ce sont des ajustements certes pas si évidents à mettre en place, mais il me semble qu il y avait une certaine ouverture de la part des deux personnes. Mais quand on fait face à des gens très narcissiques ou manipulateurs ou pervers? Ou à des gens de notre famille qui présentent les caractéristiques nommées plus haut, et que le contentieux est aussi ancien que puissant?

  • Jacques V
    Répondre

    Très bel article. C’est profond et inspirant, presque philosophique. Merci pour vos articles qui me fond du bien. Je vais appliquer certains concepts dans mes relations avec mes parents.

  • Delattre Laurence
    Répondre

    Très bel article, c’est tout à fait ça exprimer ses sentiments en bienveillance et prendre en compte ses émotions ainsi que celles de son interlocuteur.
    Merci pour ce rappel que l’on doit pratiquer au quotidien.

    • Aurélie de l'école Humaniste de Gestalt
      Répondre

      Merci pour votre retour positif sur notre article, nous sommes ravis de savoir qu’il vous a plu 🌟

  • Soumia
    Répondre

    Merci Mr Arnaud 👍.toujours touchée par vos articles ainsi que votre façon de traiter les sujets. Un article qui m’as projeté personnellement à revoir la façon de traiter les conflits qui me croisent sur le chemin. Vos conseils sont précieux et sont surtout prises en considération.
    Merci encore une fois, au plaisir de vous lire 🙏

    • Aurélie de l’école Humaniste de Gestalt
      Répondre

      Nous sommes touchés par vos mots et heureux de savoir que nos articles ont un impact positif sur votre façon de voir et de gérer les conflits.
      Merci pour votre commentaire 🙏

  • Dufau
    Répondre

    Quand l’une choisit de « profiter » du systême social parce- que d’autres le font alors que l’amie gère sa vie pour être le moins possible dépendante et le plus possible autonome, je me demande si ces valeurs sont conciliables à travers ces comportements opposés.
    Merci ,néanmoins, pour l’éclairage sur les valeurs, plus fortes que les besoins.

    • Lavolé Aurélie
      Répondre

      Bonjour Arnaud et merci pour votre article.
      Je ressens de l’apaisement à la suite de la lecture.
      Il tombe pour moi à point nommé car je m apprête à avoir justement une discussion avec une de mes amies. Le protocole m’aide beaucoup à préparer ce futur échange.
      J’ai beaucoup de gratitude envers le soutien que vous apportez à travers vos articles et vos formations…. merci

      • Aurélie de l’école Humaniste de Gestalt
        Répondre

        Merci pour votre message.
        Nous sommes ravis d’entendre que l’article vous a apporté de l’apaisement et qu’il est arrivé à un moment opportun pour vous.
        De savoir que le protocole vous à aidé à préparer votre discussion avec votre amie est exactement le genre d’impact positif que nous voulons avoir à travers nos écrits. N’hésitez pas à partager vos expériences et vos réflexions futures.

    • Aurélie de l’école Humaniste de Gestalt
      Répondre

      Merci Claudie pour votre réflexion profonde sur les valeurs et les comportements. Vous soulevez un point important : comment concilier des valeurs différentes au sein d’une relation, surtout lorsque les actions semblent être en opposition…
      La communication ouverte et le respect mutuel des choix de vie de chacun sont une première piste à aller explorer pour sortir d’une situation de conflit.
      Nous sommes ravis que l’article vous ait apporté un éclairage utile.

  • Marie-Laure
    Répondre

    Bonsoir Arnaud,
    j’ai beaucoup aimé la manière dont tu as traité le sujet et j’ai vraiment pu l’appliquer avec une personne que j’aime beaucoup mais avec laquelle j’ai une Gestalt inachevée qui dégénère de temps à autre en conflit. Ca m’a permis de regarder les choses sous un autre angle et de voir que j’avais une croyance en moi qui était à l’opposé de la personne avec laquelle je suis en relation et donc que ma réaction parlait de moi, idem pour elle, aussi je vais pouvoir lui parler en ce sens dès que possible.
    Merci Arnaud.

    • Céline Doré
      Répondre

      C’est un protocole puissant, merci Arnaud.

    • Aurélie de l’école Humaniste de Gestalt
      Répondre

      Merci Marie-Laure pour votre commentaire chaleureux et pour avoir partagé un exemple personnel 🙏

  • Céline Doré
    Répondre

    Merci Arnaud, je me sens plus apaisée après ce processus

    • Aurélie de l’école Humaniste de Gestalt
      Répondre

      Merci Céline, nous sommes ravis de savoir que vous êtes plus apaisée 🙏

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